ZA0 WOU-KI maître de l'abstraction lyrique (ZA0 WOU-KI master of lyrical abstraction)

Zao Wou-ki (1920-2013) est sans doute le peintre qui a le plus inspiré Nelly KIEFFER

Après un parcours figuratif ZAO arrive en France en 1950 pour s'imprégner des grands novateurs de la fin du 19ème siècle et du début 20 ème (Gauguin, Monet, Cézanne, matisse, Picasso).

Bien vite, il se consacre  à ce qui va devenir son sa voie : l'abstraction lyrique avec comme première œuvre le « vent »

c'est alors une diffusion lyrique, une participation aux rythmes cosmiques (oui « le souffle de l'univers » au conflit entre le ciel , mer et terre qui nous emportent et nous exaltent.

Ses toiles dès 1959 ne portent plus de titre mais « se nomment peintures ou compositions »

Son oeuvre nous projette de toile en toile dans un monde jamais ouvert aux hommes où chaque accord ou désaccord de tons pénètre en nous où la violence reste subtile

Il peut jongler sur un magma de brutalités avec sur le même toile des endroits où tout s'apaise. Il peut passer d'une extrême  douceur des tons à des paroxysmes aiguisés par des couleurs telluriques. Il utilise les jeux d'opaques et de glacis, les effets de pénétration et de transparence qui naissent des pouvoirs de superpositions de couleurs à l'huile sur elle même.

Zao excelle dans ce délicieux tissage des formes, des infinis recouvrements de couleurs, il emplit notre regard et nous touche dans notre être.

 

Pour Zao sa peinture  est, un « état d'âme », dans la mesure où elle est le résultat d'une longue méditation.

Zao nous apporte en fin d'analyse cette fusion, sans cesse reprise entre les ouvertures de l'univers des signes issus de la culture chinoise et celles de la libération innovante  de la couleur en France, des impressionnistes aux fauvistes.

Zao Wou-ki (1920-2013) is perhaps the painter who most inspired Nelly Kieffer
After a figurative journey ZAO arrived in France in 1950 to soak up the great innovators of the late 19th century and early 20 th (Gauguin, Monet, Cezanne, Matisse, Picasso). Soon, he devoted himself to what would become his Way: lyrical abstraction as the first work with the "wind"
that is when a lyric dissemination, participation in cosmic rhythms (yes, "the breath of the universe" to the conflict between the sky, sea and land that carry us and we exalt.


His paintings in 1959 are no longer title but "call paints or compositions"
His work takes us from canvas to canvas in an ever open world where men each agreement or disagreement tones penetrates us where violence remains subtle
He can juggle a brutal magma with the same fabric of where everything calms down. It can go from one extreme softness of tone paroxysms sharpened by earth colors. It uses games and opaque glaze, the effects of penetration and transparency are born color overlays powers in oil on herself. Zao excels in this delightful weaving shapes, infinite collections of colors, it fills our eyes and touches us in our being.
In Zao his painting is a "state of mind" in that it is the result of long meditation.
Zao brings in the final analysis this merger, constantly resumed between the openings of the world of signs from the Chinese culture and those of the innovative release of color in France, the Impressionists to Fauvist.

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Zao Wou-ki (1920-2013) est sans doute le peintre qui a le plus inspiré Nelly KIEFFER Après un parcours figuratif ZAO arrive en France en 1950 pour s'imprégner des grands novateurs de la fin du 19ème siècle et du début 20 ème (Gauguin, Monet, Cézanne, matisse, Picasso).  Bien vite, il se consacre  à ce qui va devenir son sa voie : l'abstraction lyrique avec comme première œuvre le « vent » c'est alors une diffusion lyrique, une participation aux rythmes cosmiques (oui « le souffle de l'univers » au conflit entre le ciel , mer et terre qui nous emportent et nous exaltent.  Ses toiles dès 1959 ne portent plus de titre mais « se nomment peintures ou compositions » Son oeuvre nous projette de toile en toile dans un monde jamais ouvert aux hommes où chaque accord ou désaccord de tons pénètre en nous où la violence reste subtile Il peut jongler sur un magma de brutalités avec sur le même toile des endroits où tout s'apaise. Il peut passer d'une extrême  douceur des tons à des paroxysmes aiguisés par des couleurs telluriques. Il utilise les jeux d'opaques et de glacis, les effets de pénétration et de transparence qui naissent des pouvoirs de superpositions de couleurs à l'huile sur elle même. Zao excelle dans ce délicieux tissage des formes, des infinis recouvrements de couleurs, il emplit notre regard et nous touche dans notre être. Pour Zao sa peinture  est, un « état d'âme », dans la mesure où elle est le résultat d'une longue méditation.  Zao nous apporte en fin d'analyse cette fusion, sans cesse reprise entre les ouvertures de l'univers des signes issus de la culture chinoise et celles de la libération innovante  de la couleur en France, des impressionnistes aux fauvistes.

Définitions de Zao Wou-ki (1920-2013) est sans doute le peintre qui a le plus inspiré Nelly KIEFFER Après un parcours figuratif ZAO arrive en France en 1950 pour s'imprégner des grands novateurs de la fin du 19ème siècle et du début 20 ème (Gauguin, Monet, Cézanne, matisse, Picasso).  Bien vite, il se consacre  à ce qui va devenir son sa voie : l'abstraction lyrique avec comme première œuvre le « vent » c'est alors une diffusion lyrique, une participation aux rythmes cosmiques (oui « le souffle de l'univers » au conflit entre le ciel , mer et terre qui nous emportent et nous exaltent.  Ses toiles dès 1959 ne portent plus de titre mais « se nomment peintures ou compositions » Son oeuvre nous projette de toile en toile dans un monde jamais ouvert aux hommes où chaque accord ou désaccord de tons pénètre en nous où la violence reste subtile Il peut jongler sur un magma de brutalités avec sur le même toile des endroits où tout s'apaise. Il peut passer d'une extrême  douceur des tons à des paroxysmes aiguisés par des couleurs telluriques. Il utilise les jeux d'opaques et de glacis, les effets de pénétration et de transparence qui naissent des pouvoirs de superpositions de couleurs à l'huile sur elle même. Zao excelle dans ce délicieux tissage des formes, des infinis recouvrements de couleurs, il emplit notre regard et nous touche dans notre être. Pour Zao sa peinture  est, un « état d'âme », dans la mesure où elle est le résultat d'une longue méditation.  Zao nous apporte en fin d'analyse cette fusion, sans cesse reprise entre les ouvertures de l'univers des signes issus de la culture chinoise et celles de la libération innovante  de la couleur en France, des impressionnistes aux fauvistes.

Synonymes de Zao Wou-ki (1920-2013) est sans doute le peintre qui a le plus inspiré Nelly KIEFFER Après un parcours figuratif ZAO arrive en France en 1950 pour s'imprégner des grands novateurs de la fin du 19ème siècle et du début 20 ème (Gauguin, Monet, Cézanne, matisse, Picasso).  Bien vite, il se consacre  à ce qui va devenir son sa voie : l'abstraction lyrique avec comme première œuvre le « vent » c'est alors une diffusion lyrique, une participation aux rythmes cosmiques (oui « le souffle de l'univers » au conflit entre le ciel , mer et terre qui nous emportent et nous exaltent.  Ses toiles dès 1959 ne portent plus de titre mais « se nomment peintures ou compositions » Son oeuvre nous projette de toile en toile dans un monde jamais ouvert aux hommes où chaque accord ou désaccord de tons pénètre en nous où la violence reste subtile Il peut jongler sur un magma de brutalités avec sur le même toile des endroits où tout s'apaise. Il peut passer d'une extrême  douceur des tons à des paroxysmes aiguisés par des couleurs telluriques. Il utilise les jeux d'opaques et de glacis, les effets de pénétration et de transparence qui naissent des pouvoirs de superpositions de couleurs à l'huile sur elle même. Zao excelle dans ce délicieux tissage des formes, des infinis recouvrements de couleurs, il emplit notre regard et nous touche dans notre être. Pour Zao sa peinture  est, un « état d'âme », dans la mesure où elle est le résultat d'une longue méditation.  Zao nous apporte en fin d'analyse cette fusion, sans cesse reprise entre les ouvertures de l'univers des signes issus de la culture chinoise et celles de la libération innovante  de la couleur en France, des impressionnistes aux fauvistes.

Exemples de Zao Wou-ki (1920-2013) est sans doute le peintre qui a le plus inspiré Nelly KIEFFER Après un parcours figuratif ZAO arrive en France en 1950 pour s'imprégner des grands novateurs de la fin du 19ème siècle et du début 20 ème (Gauguin, Monet, Cézanne, matisse, Picasso).  Bien vite, il se consacre  à ce qui va devenir son sa voie : l'abstraction lyrique avec comme première œuvre le « vent » c'est alors une diffusion lyrique, une participation aux rythmes cosmiques (oui « le souffle de l'univers » au conflit entre le ciel , mer et terre qui nous emportent et nous exaltent.  Ses toiles dès 1959 ne portent plus de titre mais « se nomment peintures ou compositions » Son oeuvre nous projette de toile en toile dans un monde jamais ouvert aux hommes où chaque accord ou désaccord de tons pénètre en nous où la violence reste subtile Il peut jongler sur un magma de brutalités avec sur le même toile des endroits où tout s'apaise. Il peut passer d'une extrême  douceur des tons à des paroxysmes aiguisés par des couleurs telluriques. Il utilise les jeux d'opaques et de glacis, les effets de pénétration et de transparence qui naissent des pouvoirs de superpositions de couleurs à l'huile sur elle même. Zao excelle dans ce délicieux tissage des formes, des infinis recouvrements de couleurs, il emplit notre regard et nous touche dans notre être. Pour Zao sa peinture  est, un « état d'âme », dans la mesure où elle est le résultat d'une longue méditation.  Zao nous apporte en fin d'analyse cette fusion, sans cesse reprise entre les ouvertures de l'univers des signes issus de la culture chinoise et celles de la libération innovante  de la couleur en France, des impressionnistes aux fauvistes.

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Traductions de Zao Wou-ki (1920-2013) est sans doute le peintre qui a le plus inspiré Nelly KIEFFER Après un parcours figuratif ZAO arrive en France en 1950 pour s'imprégner des grands novateurs de la fin du 19ème siècle et du début 20 ème (Gauguin, Monet, Cézanne, matisse, Picasso).  Bien vite, il se consacre  à ce qui va devenir son sa voie : l'abstraction lyrique avec comme première œuvre le « vent » c'est alors une diffusion lyrique, une participation aux rythmes cosmiques (oui « le souffle de l'univers » au conflit entre le ciel , mer et terre qui nous emportent et nous exaltent.  Ses toiles dès 1959 ne portent plus de titre mais « se nomment peintures ou compositions » Son oeuvre nous projette de toile en toile dans un monde jamais ouvert aux hommes où chaque accord ou désaccord de tons pénètre en nous où la violence reste subtile Il peut jongler sur un magma de brutalités avec sur le même toile des endroits où tout s'apaise. Il peut passer d'une extrême  douceur des tons à des paroxysmes aiguisés par des couleurs telluriques. Il utilise les jeux d'opaques et de glacis, les effets de pénétration et de transparence qui naissent des pouvoirs de superpositions de couleurs à l'huile sur elle même. Zao excelle dans ce délicieux tissage des formes, des infinis recouvrements de couleurs, il emplit notre regard et nous touche dans notre être. Pour Zao sa peinture  est, un « état d'âme », dans la mesure où elle est le résultat d'une longue méditation.  Zao nous apporte en fin d'analyse cette fusion, sans cesse reprise entre les ouvertures de l'univers des signes issus de la culture chinoise et celles de la libération innovante  de la couleur en France, des impressionnistes aux fauvistes.

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